La déshydratation… suicide de vos cellules

Comme tout le monde, vous vivez très probablement dans un état de déshydratation chronique.

C’est un danger trop souvent méconnu, car la déshydratation détruit tout bonnement vos tissus organiques… alors que l’hydratation garantit leur construction.

Voilà pourquoi tous les naturothérapeutes vous conseillent de boire.

Reste à savoir comment vous hydrater…

Votre organisme n’est qu’un aquarium dans lequel baignent des milliards de cellules, disait René Quinton.

Et pour cause, puisque l’eau est à l’origine de la vie !

Plus il a d’eau, et plus il y a de vie et de santé.

Saviez-vous que lorsque vous étiez un foetus vous en conteniez 99% ?

Puis le nouveau-né n’en avait déjà plus que 90%, l’adulte 70% et enfin… quelques temps plus tard, au crépuscule de l’existence il ne vous en reste que 50%.

Il vous faut donc absolument de l’eau, beaucoup d’eau… mais ce n’est pas tout !

Car si, comme tout le monde, vous souffrez de cette déshydratation chronique à l’origine de tant de maux, c’est peut-être parce que vous ne buvez pas suffisamment mais c’est vraisemblablement plutôt parce que vous buvez mal !

Des boissons déshydratantes

Peut-être comptez-vous parmi ces personnes qui négligent de boire et qui finissent très vite par souffrir de divers problèmes rénaux.

Mais, comme je viens de le dire, la déshydratation la plus commune et la plus grave est celle qu’entraîne la consommation des boissons industrielles, de l’alcool, du café et du thé…

En fait, la plupart des liquides que vous avez peut-être pris l’habitude d’absorber, au lieu d’hydrater votre organisme, provoque pratiquement toujours l’effet inverse.

Les sodas, par exemple, sont pleins de sucres, de colorants, d’exhausteurs de goût, d’aspartame et de caféine.

Pendant que la caféine vous déshydrate directement par diurèse accélérée et accoutumance psycho-nerveuse, le sucre et l’aspartame déclenchent des réflexes de manque au niveau hépatique et induisent une sensation de faim se substituant à la sensation de soif.

Ces sodas ne se contentent donc pas de vous déshydrater mais entraînent une véritable addiction et une suralimentation tout à fait susceptible de vous conduire à l’obésité.

L’alcool, quant à lui, est un agent de déshydratation extrêmement puissant, d’une part parce qu’il brûle vos tissus, mais aussi parce qu’il provoque une importante diurèse par désinhibition de certaines zones du cerveau.

C’est d’ailleurs en majeure partie cette extrême déshydratation consécutive à l’absorption d’alcool qui est responsable de la fameuse « gueule de bois ».

Le thé et le café, enfin, ont une action nettement diurétique et sont donc, eux aussi, responsables de votre déshydratation.

Le pire, c’est que ces excitants finissent également par épuiser votre organisme, et notamment vos surrénales et votre coeur, en suscitant des dépenses énergétiques souvent excessives par rapport à vos réserves réelles.

Suivez donc prudemment le conseil des naturothérapeutes et évitez toutes les boissons déshydratantes.

Buvez plutôt de l’eau pure.

Et cela non seulement pour boire… mais pour vous soigner.

Car l’eau n’est pas que votre premier aliment. Elle ne demande également qu’à être votre premier remède grâce à une pratique aussi simple que révolutionnaire : la cure d’eau.

Votre alicament N°1

Ce fut un scoop il y a une dizaine d’années, et c’est maintenant couramment admis : la cure d’eau, si vous savez comment bien la mener, est capable d’améliorer la plupart de vos troubles.

Tout de même pas tous, bien sûr, mais quand même beaucoup !

Alors… plus précisément lesquels ?

Tout d’abord dans le registre des douleurs :

Puis dans de nombreux troubles métaboliques ou digestifs :

Et enfin dans divers autres problèmes de santé :

En cas de douleurs, quelques jours de cure d’eau vous suffiront, sinon pour guérir définitivement tout au moins pour savoir si votre problème est lié ou non à la déshydratation.

En effet, si la cause de vos douleurs était la déshydratation, l’eau aura entraîné la disparition de vos symptômes.

Toutefois, si la cause est une pathologie spécifique, votre cure devra évidemment durer plus longtemps… mais donnera malgré tout d’excellents résultats, en particulier dans les cas suivants :

Les secrets d’une bonne cure d’eau

Il vous reste à présent deux conditions indispensables à remplir pour obtenir ces résultats étonnants :

Concernant la cure, plusieurs points essentiels et précautions sont à respecter :

1/ stoppez la consommation des substances qui déshydratent vos cellules, comme les boissons alcoolisées, les aliments riches en nitrates et nitrites ou les viandes…

2/ Répartissez la prise de vos deux litres d’eau quotidiens aux moments stratégiques de votre journée, c’est-à-dire :

3/ N’avalez pas brutalement vos deux litres d’eau par jour, surtout si votre organisme est déshydraté depuis longtemps, ou si vous êtes âgé. Préférez une certaine progressivité.

4/ Assurez-vous que votre système rénal fonctionne suffisamment bien pour éviter toute rétention d’eau. Si ça n’est pas le cas, commencez votre cure en n’ajoutant qu’un verre ou deux par jour à votre consommation habituelle ; et si votre volume d’urine n’augmente pas, lui aussi, de la valeur d’un verre ou deux, consultez et entreprenez un traitement.

5/ Ne buvez jamais pendant les repas, afin de ne pas noyer vos sucs digestifs et vos enzymes.

6/ Consommez quotidiennement un verre de jus d’orange pour bénéficier d’un apport de potassium qui équilibrera votre production d’histamine.

En suivant scrupuleusement ce protocole éprouvé, peu à peu votre organisme retrouvera un état d’hydratation normal et, sur cette base, vous recouvrerez la sensation de soif authentique.

La sensation de bouche sèche n’est, en effet, pas la soif mais le signe d’une extrême déshydratation dont vous ne devriez normalement pas attendre la survenue pour vous décider à boire.

Avec une telle cure, c’est donc votre instinct de boire qui va se rétablir, en même temps que vont être guéries les diverses maladies provoquées par votre déshydratation.

Dernier point et le plus important de tous : il s’agit maintenant de savoir où trouver une eau suffisamment pure et saine pour assurer la bonne conduite d’une cure aussi cruciale… et pour continuer, le restant de vos jours, à vous hydrater correctement.

Une potabilité excessivement suspecte

De l’eau, ce n’est pas compliqué d’en trouver, me direz-vous… il en coule autant qu’on en veut au robinet !

Hélas, l’eau du robinet est surchargée de toxiques de toutes sortes.

Pour vous donner une idée de l’énormité du problème, souvenez-vous que lorsque l’association « Que choisir » a étudié l’eau potable en France, elle a intitulé son article « Eau secours ! ».

Soyons clairs : malgré la bienveillance des autorités, les pollutions environnementales rendent l’eau du robinet extrêmement dangereuse.

Notre circuit d’eau potable étant, à peu de choses près, un circuit fermé, les médicaments chimiques consommés par 60 millions de français se retrouvent dans votre eau de boisson.

Rien d’étonnant puisque ces substances très indésirables ne sont pas dégradées dans les stations d’épuration.

Voilà, vous vous en doutez, une situation extrêmement préoccupante !

D’autant que, pour faire passer la pilule – si j’ose dire -, les autorités ont décidé d’exclure les teneurs en médicaments dans le calcul de la potabilité de l’eau.

Il est vrai qu’il vaut mieux ne pas savoir ce qu’on boit !

Ajoutez à cela, qu’au nom de « l’hygiène publique », on ne se prive pas d’injecter de bonnes quantités de chlore et de fluor à cette eau.

Ainsi vous pouvez être certain de verser dans vos carafes et vos casseroles un liquide bourré à craquer de molécules à forte toxicité, notamment sur le cerveau.

Vous vous consolerez peut-être en pensant que tous ces produits chimiques doivent au moins tuer les microbes.

Malheureusement, nous en sommes loin !

La revue « La Recherche » a en effet publié à ce sujet des études qui montrent que l’eau sortie des stations d’épuration se pollue très vite dans les canalisations… jusqu’à atteindre 1 million de bactéries par cm3 à votre robinet.

Abandonnez donc définitivement tout espoir de ce coté là !

Le grave problème des bouteilles en plastique

Votre premier réflexe pour éviter l’extrême pollution de l’eau du robinet a sans doute été de vous précipiter sur les bouteilles d’eaux dites « minérales ».

Vous pensiez en toute confiance y trouver une eau pure et saine, quand ce n’est pas y puiser  les bienfaits des sources thermales. Or, il n’en est rien !

L’eau minérale en bouteille ne possède pratiquement plus aucune des vertus qu’elle avait à sa source.

De plus, elle souffre d’un excès de minéralisation qui la rend encrassante à long terme et finit tout simplement par boucher vos artères.

Mais le pire, c’est que le plastique des bouteilles fait exploser le taux d’hormones, même dans les eaux de source peu minéralisées.

C’est là un autre très grand problème de santé publique puisqu’on sait aujourd’hui que ces substances « hormone-like » contenues dans le plastique, les phtalates, sont à l’origine de nombreux troubles de santé et notamment d’une chute importante de la fertilité.

Enfin, le dernier inconvénient des eaux en bouteilles, c’est qu’elles sont mortes.

L’avantage des eaux jaillissant de leur source, dans la nature, est d’avoir longuement coulé sur la roche avant d’être recueillie et bue.

Or, ce mouvement, quelquefois violent, contribue tout d’abord à l’aération de l’eau, mais surtout à la dynamisation de ses molécules.

C’est pourquoi une eau ayant reposé, quelquefois plusieurs mois, dans une bouteille, ne bénéficie plus de cette qualité, surtout lorsqu’il s’agit d’une eau plate et peu minéralisée.

Simoneton, un ingénieur qui s’était fait le spécialiste de la vitalité des aliments, avait découvert que la Volvic, par exemple, « vibrait » à 0 Angström, alors que l’eau du robinet, moins pure mais en mouvement, parvenait à 2000 A°… ce qui n’était tout de même pas suffisant pour apporter à votre organisme la vitalité qui lui était nécessaire, mais prouvait malgré tout que c’était bien l’immobilité qui tuait les eaux en bouteilles.

Conclusion : une bonne eau, la seule que vous pouvez boire sans nuire à votre santé, est donc à la fois pure et vivante.

Qu’est-ce qu’une eau vivante ?

Seule une eau pure et vivante est d’une qualité suffisante pour parvenir à hydrater correctement vos cellules.

Car on s’est aperçu que, même lorsque la quantité de deux litres par jour est respectée, l’assimilation cellulaire d’une eau ordinaire (du robinet ou en bouteille) est loin d’être assurée.

Les avancées les plus récentes en matière de biodisponibilité de l’eau prouvent que ces types d’eaux s’avèrent impuissants à franchir la paroi lipidique naturelle qui entoure vos cellules.

Même les meilleures eaux de source en bouteille, et quelle que soit la quantité que vous en consommiez, ne parviendront donc jamais à établir avec vos cellules qu’un contact désespérément superficiel.

Sachant cela, vous vous demandez peut-être comment vous avez réussi à survivre jusqu’à présent ?

Uniquement grâce aux enzymes dont dispose votre organisme !

Ce sont vos enzymes qui transforment cette eau impropre à la consommation humaine en une eau biologique capable de nourrir plus ou moins correctement vos cellules.

Mais c’est malheureusement au prix d’un épuisement de plus en plus marqué de votre capital enzymatique… jusqu’à ce que, avec le temps, vos réserves deviennent insuffisantes pour éviter cet assèchement généralisé de votre organisme, synonyme de maladie et de mort.

Qu’est-ce donc que cette eau biologique, cette « eau vivante » ?

Le terme a vu le jour lorsque des scientifiques découvrirent que les cellules altérées baignaient systématiquement dans un liquide non structuré, alors que les cellules saines étaient toujours entourées d’une eau agrégée, autrement dit « vivante ».

Pour qu’une eau reste vivante, il faut donc que ses molécules soient agrégées, c’est-à-dire capables d’attirer des électrons surnuméraires en grandes quantités.

L’eau qui coule dans les rivières et les lacs – tout au moins dans des situations naturelles et non polluées – est structurée et possède ces électrons.

En revanche, l’eau qui passe à travers des tuyaux est dévitalisée, non structurée, et ne possède pas ces électrons.

Il suffit en fait de quelques centimètres de canalisations sous pression pour que la molécule d’eau ne puisse plus tourner correctement et que, obligée de se déplacer sur des trajectoires concentriques, elle perde ses électrons externes, devenant ainsi de l’eau non structurée.

Au microscope, l’eau structurée ressemble à des flocons de neige, s’organisant en petites structures hexagonales, stables et compactes, métaboliquement plus actives car l’oxygène y est réparti en plus petits groupes.

Elle peut alors pénétrer dans vos cellules plus rapidement.

Le « secret » scientifique de cette eau vivante réside tout simplement dans la présence de polymères dont la tension de surface est compatible avec vos membranes cellulaires.

Trop élevée (de 50 à 73 dynes), cette tension rend l’eau incompatible avec vos membranes cellulaires. Alors, les nutriments restent en suspension, et vos cellules ne peuvent ni s’alimenter ni évacuer leurs toxines.

Il est indispensable que la tension de surface avoisine les 45 dynes pour que l’eau soit adaptée à la perméabilité de vos membranes cellulaires, devenant alors ce qu’il convient d’appeler une eau vivante et biologique !

Les biophotons et l’eau vivante

Avec les « biophotons » nous en arrivons à présent à la pointe de l’eau vivante. Qu’est-ce qu’un biophoton ?

C’est une émission de lumière ultrafine produite au coeur de vos cellules par votre ADN.

Chaque organisme vivant en émet, constituant un champ de photons qui assure, par sa plus ou moins grande harmonie, la cohérence et l’unité du système biologique de l’individu.

Ces biophotons, reconnus par la communauté scientifique avec plus de 40 groupes de recherche en biologie quantique, font circuler de très grandes quantités d’information entre vos cellules, instruisant notamment vos enzymes dans leurs différents processus, contrôlant le métabolisme cellulaire, régulant la croissance et la reproduction, etc.

Loin d’être une vue de l’esprit, on les mesure très concrètement en unités par seconde et par centimètre carré.

Ainsi par exemple, un nouveau-né en émet 200 unités, un adulte une centaine, un vieillard 50, puis 30, puis 10… et enfin un cadavre 0 !

En d’autres termes, moins il y a de biophotons et plus la vie se détériore.

Vous souvenez-vous qu’on a dit exactement la même chose à propos de l’eau ?

Si vous faites bien la relation entre la vie, l’eau et les biophotons, alors sans doute comprenezvous, maintenant, l’importance de consommer une eau vivante et riche en biophotons.

La révolution des générateurs de biophotons

Sachant que l’eau de votre robinet, en plus d’être toxique, émet les biophotons équivalents à ceux d’une feuille morte en décomposition, vous serez certainement heureux d’apprendre qu’il existe des filtres d’eau générateurs de biophotons.

Ces systèmes réunissent un nombre impressionnant d’avantages :

A noter que ces appareils « Aquaphotons », scientifiquement approuvés, et distribués par Ojade, sont actuellement les seuls au monde à produire des biophotons.

Au contraire des osmoseurs qui déstructurent les cristaux d’eau, les filtres Ojade vous assurent une eau vivante grâce aux biophotons… et tout de même nettoyée de 99% de ses polluants : coagulants, nitrates, médicaments, etc.

Les appareils Ojade sont reconnus depuis plus de 15 ans et se sont distingués à plusieurs reprises :

Ils s’adressent autant au grand public qu’aux professionnels, horticulteurs, collectivités, éleveurs…

Pour le grand public, Ojade commercialise trois produits :

Profitez-en : Ojade offre une réduction exclusive et exceptionnelle aux lecteurs de Réponses Bio (notamment sur le « module de désinfection »), et, comme toujours, toutes les facilités de paiement